dimanche 28 mars 2021

Atelier de formation sur l’art oratoire et la prise de parole en publics: Repsfeco-Bénin renforce le leadership d'une trentaine de femmes et de jeunes filles de Grand-Popo



Avec l'appui technique et financier d'Oxfam, la section béninoise du Réseau Paix et Sécurité des Femmes de l’espace Cedeao (Repsfeco-Bénin) a initié le mardi 23 mars dernier, un atelier de formation sur le leadership, l’art oratoire et la prise de parole en public, à l'endroit d’une trentaine de femmes et de jeunes filles de Grand-Popo. Cette activité s'est déroulée dans les locaux du centre de Nonvignon de la localité.


Contribuer au renforcement du leadership des femmes et des jeunes en vue de les aider à vaincre la peur et le manque de confiance en soi. C'est l'objectif de cet atelier de formation qui a mobilisé une trentaine de participantes dont 18 femmes et 13 jeunes filles.


Dans mot de bienvenue, Mme Nassi Dossou Lydie, représentante du Repsfeco- Bénin, a présenté le réseau en mettant l'accent sur ses objectifs, sa vision et sa mission. Elle a également énuméré les différents projets exécutés par le réseau pour la promotion du leadership et l’autonomisation de la femme sans manquer de remercier l’Oxfam pour son appui technique et financier pour l’aboutissement heureux de ce projet.


De son côté, le représentant d’Oxfam au Bénin, M. Dénis Lawson a félicité le Repsfeco-Bénin pour son engagement aux côtés des femmes et des filles pour leur autonomisation et leur plein épanouissement. Il s'est réjoui particulièrement de la tenue effective de cet atelier de formation au profit de celles-ci tout en exhortant les participantes à faire bon usage des enseignements qui leur seront donnés.


Représentant le maire empêché, le premier adjoint au maire de Grand-Popo, M. Benjamin Koulétio a dit toute sa joie pour le choix porté sur les femmes et les filles de sa commune. Selon lui, cette formation vient à point nommé en ce sens qu'elle permettra aux bénéficiaires de briser les barrières liées à la peur, d’affirmer leur identité et de prendre la parole en public. Il a, pour finir, remercié Repsfeco-Bénin pour l'initiative et a réitéré tout le soutien et la disponibilité du communal de Grand-Popo à l'accompagner dans l'atteinte de ses objectifs.


Après la cérémonie d'ouverture, les participantes ont eu droit à quatre communications qui ont porté sur la présentation du Programme de Coopération Volontaire (PCV) égalité en action, et du Repsfeco, le leadership efficace, l’art oratoire et la prise de parole en public.


De la première communication présentée par Mme Dorine Adjibodou, responsable suivi évaluation chargée à la communication du réseau, il ressort que le programme ‘’Egalité en action’’ est le nouveau programme de coopération volontaire d’Oxfam qui vise à renforcer le pouvoir des femmes et des filles et l’égalité des genres ainsi que la gouvernance inclusive. D’une durée de (07) ans (2020-2027), il est exécuté dans plusieurs pays tels que la Bolivie, El Salvador, Haïti, Honduras, Pérou, Bénin, Burkina Faso, Ghana, Liberia, Sénégal, Sierra Leone, Jordanie, TPO-I.



S'agissant de la deuxième communication de cette journée, la formatrice a entretenu les participantes sur la vision, la mission et les principaux objectifs du Repsfeco sans oublier les différentes actions déjà menées par l'antenne du Bénin pour la promotion et l’autonomisation des femmes et la défense et la protection des droits des filles.


Dans sa présentation, la Coordonnatrice nationale du Repsfeco-Bénin, Mme Blandine Sintondji a défini le leadership efficace comme la capacité d’aider les gens à améliorer leurs propres compétences. D'après la facilitatrice, un bon leader doit être un visionnaire, engagé, compétent et crédible, savoir communiquer, avoir confiance en lui-même, avoir l’estime de soi, et surtout avoir l’affirmation de soi.


La dernière communication de cette journée a porté sur l’art oratoire qui est l’art de bien parler en public. Pour y parvenir, selon la formatrice, Mme Dorine Adjibodou, il faut bien se préparer, vaincre la peur et avoir une confiance en soi.



Ces différentes communications aussi pertinentes les unes que les autres se sont déroulées dans une ambiance participative et interactive, à la satisfaction de tous. Notons que cet atelier de formation a pris fin par des exercices pratiques sur l'art oratoire.

                           

dimanche 8 mars 2020

JOURNÉE DU 8 MARS AU BÉNIN: ENTRE CÉLÉBRATION ET FLATTERIES.


 1977, la communauté internationale officialise la journée internationale de la femme. Cette journée a été instituée pour célébrer la bravoure des luttes menées par les femmes à travers le monde pour leurs droits.

La  journée, devenue une tradition,  se  célèbre chaque année aux quatre coins du globe.
A l'instar des autres pays du monde, le Bénin célèbre aussi, et parfois même en grande pompe, cette journée dédiée à la femme.
Ce jour-là, nos braves mères, toujours fières d'elles-mêmes malgré la charge émotionnelle de cette journée,  nouent pagnes et perles et se retrouvent pour célébrer l’évènement.
Dans une fête généralement riche en couleurs, elles se rassemblent et exécutent quelques pas de danse sur tous les rythmes.

Des fleurs leurs sont jetées par les hommes  et de belles expressions ronflantes se font entendre.

Et c'est évidemment là que le bât blesse au Bénin.   Toutes ces expressions et ces fleurs jetées ne sont que flatterie et duperie.

OUI, flatterie parce que la femme béninoise semble toujours reléguée au second plan dans la société.
Bien qu'elles constituent plus de 51% de la population béninoise,  elles ne sont pas suffisamment représentées  aux postes de prises de décisions.
Et, celles qui s'y trouvent, peuvent se compter sur les doigts de la main.
Au parlement, le nombre est infirme.
 Et au gouvernement, le constat est le même.     Et ce n'est pourtant pas les qualités et  les capacités   qui leurs manquent. Non, rien de tout ça.
 Elles sont tout autant, sinon plus diplômées que les hommes.
 Mais, quand il s'agit de postes à responsabilités, les hommes qui leurs jettent les fleurs et vantent leurs mérites tous les 8 mars sont les mêmes  qui leur font obstacle du fait des pesanteurs socioculturels.

Mais, femme, celui qui, aujourd'hui, te  ferme les portes des instances décisionnelles sous prétexte que ta  place est ailleurs oublie que, dans l’Histoire de ce pays, tu as participé  à la vie politique et publique en tant qu’amazone aux 19ème siècle sous le règne du roi Guézo.
Tu as été  cette grande amazone qui montait même au front pour combattre le colon.
 Mais, te voilà aujourd'hui reléguée au second rang.

Je me sens impuissant, meurtri dans mon corps et dans mon coeur pour toi, femme.
Ma plume est sèche et acerbe et je dois m'en arrêter là pour ne pas pécher par excès de compassion.

Femme, tu dois cesser de  passer ton temps à fêter ce 8 mars, fermer tes oreilles aux belles expressions flatteuses pour te lever, te battre comme une amazone et conquérir ta place.  Car, 《l'esclave qui n'est pas en mesure d'assumer sa propre révolte, ne mérite pas que l'on s'apitoie sur son sort》.Seule la lutte paye.

         Jacob YANTCHA

vendredi 23 novembre 2018

LE REPSFECO BÉNIN  FAIT DES JOURNALISTES BLOGUEURS BÉNINOIS  DES AMBASSADEURS DES RÉSOLUTIONS 1325, 2242 ET 2250 du CSNU.


Le Réseau Paix et Sécurité des Femmes dans l'Espace CEDEAO RESPSFECO section Bénin dirigé par Blandine Sintondji Yaya,  a réuni ce vendredi 23 Novembre 2018 à Bohicon,  des journalistes  Blogueurs,  télévisions en ligne et autres journalistes pour un atelier d'information et de formation.
L'objectif de cette rencontre , est de renforcer leurs capacités  sur les résolutions 1325, 2242 et 2250 du Conseil de Sécurité des Nations Unies(CSNU) portant sur  l'importance des femmes et des jeunes dans le processus de paix .

Adoptée le 31 octobre 2000 par le CSNU,  la résolution 1325 vise à protéger les droits fondamentaux des femmes et des filles dans les conflits en particulier la prévention des violences basées sur le genre d'une part, et d'autre part, la représentation et la participation égale des femmes à la prévention et la gestion des conflits,  aux négociations de la paix à tous les niveaux.
 
 Venus de divers organes et divers horizons du Bénin,  les acteurs des Web médias ont eu droit à des panels  qui leurs ont permis d'élaborer à la fin,  des stratégies de vulgarisation de ces résolutions.


                      Jacob YANTCHA 

jeudi 22 novembre 2018

RÉGULATION DE LA CIRCULATION DANS LA VILLE DE COTONOU
Les "passeurs“ : “ hommes-panneaux de signalisation“.

Les hommes en gilet rouge ou vert munis d’un fanion rouge estampillé CNSR sont de plus en plus présents dans la circulation routière de Cotonou.
Ils sont appelés “passeurs“ par certains et “facilitateurs“ par d’autres en raison de leur rôle dans le trafic urbain.
D’un coup de  sifflet ils font arrêter  automobilistes et motocyclistes pour laisser  traverser en toute sécurité  écoliers et élèves ainsi que d’autres piétons.

Il est 7h30min. Sur le tronçon  pavé  Menontin-Fifadji, la circulation est dense. Automobilistes et motocyclistes se bousculent. Les klaxons fous se font entendre. Dans moins d’une demi-heure, chacun doit être sur son lieu de travail. Personne ne veut être en retard. Tout le monde se presse. Le moindre espace permettant d’avancer de quelques mètres est rapidement occupé par un conducteur.

Dans cette circulation bouillonnante, élèves et écoliers doivent également traverser la rue pour retrouver leur classe. Il est difficile pour eux de se frayer un passage dans ce flot d’automobiles et de motos. Des panneaux de signalisation sont pourtant installés pour indiquer la proximité des écoles. Mais ils semblent servir plus de décoration qu’autre chose aux yeux des usagers car ils n’attirent aucunement l’attention et ne sont donc jamais respectés.

Malgré tout, cette circulation est quand même régulée.
Tout au long de ce tronçon urbain, comme sur d’autres à Cotonou, sont postés des hommes en gilet rouge ou vert qu’on appelle “passeurs“ ou facilitateurs“.
En face de l’école primaire publique de Fifadji, c’est un sexagénaire qui est debout au milieu de la chaussée. Il s’appelle Thomas et exerce le métier de “facilitateur“ depuis huit ans pour le compte de l’EPP de Fifadji.
Sifflet à la bouche et fanion rouge levé flottant mollement au-dessus de la main, il interrompt la circulation. Puis, en toute sécurité, il fait traverser les enfants de l’autre côté de la chaussée où se trouve leur établissement scolaire.
Il en est de même à chaque fois qu’un groupe d’élèves veut traverser.
Dans la matinée, le travail est soutenu pour Gratien et le temps est compté.

Il est 12h30min. C’est la fin des cours de la matinée. Les “facilitateurs“  se remettent à la tâche. Et  cette fois-ci, ils doivent  aider les écoliers à retrouver le chemin de la maison pour la pause de midi.
Sous le soleil tropical de Cotonou Thomas reprend du service. À cette heure-ci, et malgré les gouttes de sueur qui perlent sur son front, le travail est plus aisé car la circulation est plus fluide.
L’air épuisé et d’un ton détaché, Thomas se confie : « Je suis recruté par l’école pour  faciliter la traversée de la rue aux élèves. Je  le fais tous les jours et, grâce à cette intervention, les enfants sont de moins en moins victimes d’accidents. »
Comme Thomas, les “passeurs“ sont souvent recrutés et payés par les établissements scolaires publics ou privés pour répondre à ce besoin.
Leur  plage horaire d’intervention est bien définie : Le matin, ils interviennent de 6h30min à 8h30min et de 12h  à 13h. L’après-midi, de 14h30min à 15h15min et de 17h à 19h30min.
Outre les élèves et écoliers, les “passeurs“ aident également d’autres piétons et surtout des personnes âgées à traverser la rue.
Pour devenir “facilitateur“, ils doivent d’abord suivre une formation sur le code de la route et la conduite à tenir au Centre National de Sécurité Routière (CNSR).

Mais, dans une circulation anarchique comme celle de Cotonou, être “facilitateur“, n’est pas ”un long fleuve tranquille“ comme le confirme Jean, “passeur“ du CEG Ménontin :  « Certains usagers ne respectent pas ce que nous faisons. Malgré nos coups de sifflet, nos gilets et nos fanions rouges, certains foncent sur nous. Une fois j’ai failli me faire casser la jambe par un conducteur ivre. »
Pourtant, la plupart  des usagers disent être très reconnaissants du travail effectué par les  “facilitateurs“ :  « Nous reconnaissons l’importance du travail qu’ils font. Mais parfois, il y a des urgences qui nous contraignent à l’inattention » confie Florent, conducteur de taxi-moto.
Au-delà du non-respect de leurs consignes, les “passeurs“ sont aussi victimes d’agressions en tous genres de la part de certains usagers : vives invectives, actes de sabotage et manque de courtoisie…

Les “facilitateurs“ ont une noble mission dans la capitale économique du Bénin. Mais, les comportements irrespectueux et désobligeants des usagers restent à éduquer.





                                                                                                             Jacob YANTCHA 

mercredi 29 novembre 2017

LES CANIVEAUX PLEURENT À COTONOU.



   


Les caniveaux sont en pleine souffrance dans la capitale économique du Bénin.
Construits pour drainer les eaux de surface, ils sont devenus de véritables dépôts d’ordures sauvages.

Sacs en plastique, épluchures de fruits, boîtes de conserve, restes de nourriture, pneus d'automobiles usés et ordures en tous genres y sont jetés.

Véritable décharge publique.
Eh oui , c'est à Sainte Rita, dans le 10ème arrondissement, en plein coeur de Cotonou.

Décharge publique disait-on, mais c'est de pire en pire. Toilettes publiques conviendraient mieux!
Tout y est. Vidanges à ciel ouvert.

Les caniveaux s'étranglent. Ils ne jouent plus leur rôle. Les eaux sont retenues par toutes les bizarreries.

Les eaux stagnent.Les matières se décomposent. La putréfaction génère des odeurs puissantes et nauséabondes.

Tout est en souffrance. Et l'environnement est en première ligne.

 Tout est foutu. Et pourtant, la réalisation de ce caniveau a coûté des millions.
Mais, depuis l’achèvement de sa construction, il n’a jamais été entretenu.
Il  est  maintenant chargé, surchargé et torturé par les actes d'incivisme.
Et tout ceci ne semble interpeller personne à quelque niveau que ce soit.

À quelques mètres de ce caniveau,poubelle géantes,siège d'insectes et de mouches se trouvent des restaurants,des maquis, à ciel ouvert.
 Dans cette puanteur,le commerce de nourriture se tient. Hygiène alimentaire, risque sanitaire, maladies,tout cela ne semble inquiéter personne.

A qui la faute?

Difficile  de pointer directement du doigt les auteurs de cette pollution lorsqu'on sait que poubelles et toilettes publiques sont choses  rares dans la ville de Cotonou.

 Les responsabilités semblent partagées.  L'autorité municipale est absente et les citoyens ne brillent guère par leur responsabilité. Ils sont plutôt champions de l'incivisme.

   

                            JYS

dimanche 19 novembre 2017

Haïti et Bénin: deux nations, un même  peuple.

                 

Le festival des retrouvailles Haïti-Bénin organisé par l'Association des Haïtiens Vivant au Bénin  (AHVAB ) a connu son épilogue dans la soirée de ce samedi 18 Novembre 2017.
Drapeaux d'Haïti, tableaux et oeuvres d'art, c'est le décor de la salle de l'espace TCHIF qui a servi de cadre à la conférence-débats  sur la bataille de Vertières.

Haïti est le pivot de la liberté des Noirs》a déclaré  le vice-président du Sénat d'Haïti, principal intervenant  de cette conférence.
Devant un parterre de personnalités des deux nationalités, Jean-Marie Junior Salomon s'est livré à un récit palpitant de la bataille de Vertières.

Le choix du 18 Novembre n'est pas fortuit. C'est en effet une date historique pour les Haïtiens.

Le célèbre combat de Vertières, dans le nord d’Haïti, qui a mis en déroute l'armée napoléonienne, s'est déroulée le 18 Novembre 1803.
Cette victoire a ainsi fait d'Haïti la première République noire, proclamée le 1er janvier 1804.

Le droit du sang étant plus fort que celui du sol, les Haïtiens n'ont pas oublié la terre de leurs ancêtres.
Ils  connaissent le Bénin et sont intéressés par son Histoire.

Mais, les Haïtiens ont  l'impression  que leurs frères  Béninois ne connaissent Haïti qu’à travers le dramatique séisme de 2010.

Durant trois jours, les  rencontres ont été riches en échanges culturels.
Les festivités ont pris fin dans une ambiance conviviale.


                                       JYS
LA SOIRÉE ENGAGÉE AU PALAIS DE LA DÉCOUVERTE .

       

                 Samedi 11 novembre, 20h30min ,  Ciel bleu éclair parsemé d'étoiles  et de nuages intermittents.
   30° Sur  Cotonou.

Sous un Palais aéré comme pour démentir les données météorologiques , on respire  de  l'air pur et adoucissant qui plonge dans un univers de  Parc sauvage reposant.

Mais revenons au Palais lumineux sous sa  toiture de chaume. Un palais disposé comme une croix.

Les invités s'installent progressivement .

21h déjà,  les  gens sont confortablement assis autour des tables..

Les uns à l'apéritif  rigolent.  Ceci  laisse   croire  qu'ils se rappellent    les vieilles histoires d'école.  D'autres   dégustent agréablement  leurs plats  aux goûts  et saveurs du monde.

 Les passions   se  déchaînent de part et d'autre.
L'impatience  se lit sur les visages pour  connaître la fameuse chanson engagée et son histoire.

Comme une star de la POP américaine , Didier Samson se présente  pour étancher la soif de l'impatience.

Il s'empare du micro, et  démarre  le décryptage.

 De ''la marche des troupes de Rhin," devenue  "La Marseillaise'' à ''Hasta Siempre''(en hommage à che Guevara ) en passant par ''le  Déserteur" de  Serge Reggiani,  "Ça ira" d'Édith Piaf, "La musulmane'' de Michel Sardou, et "Le Bûcheron" de F. Boukaka,  l'historien des la  chants  Didier Samson les a tous décortiqués.


L'historique  de la chanson engagée  a donné  lieu à des débats  passionnants ce soir au Palais de la Découverte.

Sourire  aux lèvres, visages   joyeux , tel est  l'état dans lequel les participants se sont quittés.

L'assistance s'est bien régalée et de bonnes impressions pouvaient se lire sur les visages.

Le prochain    rendez-vous, réserve certainement   des surprises  ragoûtantes.

                                    JYS